
Un fort déséquilibre dans la chaîne alimentaire nécessite des réformes
L’association Faire Märkte Schweiz entre en contact avec le Fairness-Büro Österreich Un fort déséquilibre dans la chaîne alimentaire nécessite des réformes En Suisse, il est
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L’association Faire Märkte Schweiz entre en contact avec le Fairness-Büro Österreich Un fort déséquilibre dans la chaîne alimentaire nécessite des réformes En Suisse, il est
« De la région. Pour la région » – Dans quelle mesure le label est-il vraiment régional ? MÉS fait le point. 🗞️ « Label Migros controversé –
L’assemblée générale 2025 de Faire Marchés Suisse aura lieu le 15 mai 2025. Comme annoncé dans le Save the Date de l’été 2024 et du début 2025, le conseil d’administration, le comité consultatif, l’équipe et les membres se réuniront pour faire le point sur les 12 derniers mois – pour la deuxième fois déjà dans la jeune histoire de FMS !
La FMS a récemment été interrogée sur le fait que les activités de l’organisation se concentrent principalement sur la discussion des prix. La discussion sur les prix est en effet à la base de beaucoup de choses qui doivent être abordées. En revanche, la vision globale va beaucoup plus loin : nous voulons créer des marchés plus justes et plus équitables et permettre ainsi la transformation vers des marchés plus durables. Nous l’exprimons par exemple par le biais du Self-Check, qui permet aux entreprises du secteur agroalimentaire d’évaluer leur situation en matière d’équité à l’aide des indicateurs suivants : concurrence, création de valeur, transparence, accord de livraison, paiement, plainte. Et bien sûr, nous devons aussi parler du prix.
Le 21 février 2025, Stefanie Lichtsteiner, directrice de Faire Märkte Schweiz, était l’invitée de l’émission en italien « Patti chiari » de la RSI. Au cours de l’émission, le marché de la viande a été passé au crible. Outre la question des différences de prix et de qualité entre les entrecôtes suisses et étrangères, l’accent a été mis sur les conséquences de la guerre des prix actuelle pour l’agriculture et les consommateurs.
L’année dernière, une analyse a mis en évidence l’écart important entre les prix officiels et les prix effectivement payés aux producteurs. C’est ce qui nous a incités à nous intéresser de plus près aux pertes de revenus dues aux déductions sur les prix à la production. Le premier projet de cette série fait l’objet d’un focus.
La situation concurrentielle dans le secteur du commerce de gros de la restauration est de plus en plus sous pression. Avec le rachat de Saviva par Transgourmet et d’autres fusions intervenues ces dernières années, la concurrence dans le secteur est considérablement réduite. C’est pourquoi l’association Marchés Équitables Suisse lance désormais également un numéro d’urgence pour les restaurateurs et les fournisseurs concernés.
L’article du Service d’information agricole (LID) met en lumière la manière dont la mozzarella suisse est rendue moins chère par des déductions artificielles afin de concurrencer le fromage importé. Dans le même temps, la mozzarella importée dégage des marges plus élevées, ce qui la rend plus attractive pour les distributeurs.
Les producteurs de produits laitiers suisses portent un lourd fardeau : des millions sont prélevés chaque année par le biais de déductions sur les factures de lait afin de réduire artificiellement le prix des produits fromagers suisses et de les maintenir compétitifs sur le marché. C’est ce que révèle une analyse récente de l’organisation de transparence Faire Marchés Suisse (FMS). FMS demande maintenant un repositionnement équitable des prix. Rien que sur le marché de la mozzarella, cela permettrait d’améliorer les recettes jusqu’à 10 millions de francs.